Une Zone à Faibles Émissions (ZFE) est une zone urbaine où la circulation est interdite ou restreinte pour certains véhicules anciens jugés « trop polluants », selon leur vignette Crit’Air. Depuis le 1^er janvier 2015, les 43 métropoles de plus de 150 000 habitants y sont éligibles. Derrière cette idée, le gouvernement prétend lutter contre la pollution, mais en pratique, cela signifie interdire l’accès aux centres-villes à des millions de Français qui roulent avec des voitures anciennes mais parfaitement fonctionnelles et dont le contrôle technique est valable.

Pour s’assurer de la mise en place de ces nouvelles contraintes étaient prévues 68 € d’amendes automatisées (lecture automatique des plaques) à chaque entrée ou sortie d’une ZFE.

• Parce qu’elles frappent d’abord les plus modestes : retraité, artisan, famille…
• Parce qu’elles créent une double fracture : sociale et territoriale.
• Parce qu’elles n’ont aucun effet global sur le climat, mais plongent des familles dans l’angoisse de perdre leur mobilité.

Depuis le 1^er janvier 2025, avec beaucoup d’autres acteurs contre les ZFE, nous avons alerté massivement l’opinion, mené des campagnes, soutenu des recours, et mobilisé avec les motards, pour qu’au mois de mai dernier l’Assemblée nationale vote la suppression des ZFE dans la loi. Sans cette mobilisation, la généralisation des ZFE et les amendes afférentes serait déjà imposées partout.

• Les ZFE sont toujours en vigueur avant la fin du processus parlementaire.
• 27 septembre : grande manifestation nationale des #Gueux avec les motards (Paris).
• 30 septembre : CMP pour décider du texte final et valider ou non la suppression des ZFE.
• Ensuite : promulgation par le Président (sous réserve d’un éventuel contrôle du Conseil constitutionnel).

Nous continuerons jusqu’au bout pour une abrogation totale et des solutions intelligentes : modernisation du parc, aides ciblées, transports adaptés… Améliorer la qualité de l’air sans interdire de vivre.

La PPE est la feuille de route énergétique de la France. La PPE3 (en préparation) fixe les choix du pays pour les 10 ans à venir : mix, investissements, et donc impact direct sur la facture.

• Intermittents subventionnés (éolien/solaire) à prix garantis.
• Réseaux nouveaux à construire pour absorber une électricité aléatoire et non pilotable.
• Déstabilisation du marché : pics vent/soleil ⇒ prix négatifs ⇒ surcoûts payés aux producteurs.
• Addition > 300 Md€ / 10 ans.
• Impacts environnementaux (éolien) : écosystèmes, pêche artisanale, cheptels, paysages littoraux/campagnes.
• Explosion des factures ménages & entreprises + fragilisation du réseau.

Nous avons obtenu une première victoire : le décret PPE3 n’a pas été signé par l’ancien Premier ministre, malgré une forte pression. Mais la menace demeure : il peut être publié à tout moment.

• Noyau : nucléaire + hydraulique (décarboné, pilotable, bon marché).
• Stop au gaspillage des subventions aux intermittents.
• Objectif : –25 % sur la facture d’électricité pour ménages et entreprises.
• Visibilité industrielle ⇒ compétitivité ⇒ éviter les délocalisations.
• Accélérer l’électrification des usages grâce à une électricité moins chère.

• Que le décret PPE3 ne sorte pas.
• Ouvrir immédiatement des discussions avec le gouvernement et les acteurs pour bâtir la PPE des Gueux (pouvoir d’achat + compétitivité : –25 % pour tous).
• Aligner le secteur sur 3 objectifs : abondance, décarbonation, prix bas.

Les #Gueux, c’est un mouvement citoyen, associatif, indépendant des partis, lancé par Alexandre Jardin. Nous luttons contre des injustices ; notre vocation est d’unir la société derrière nos causes et de porter la voix de ceux qu’on n’entend jamais (agriculteurs, pêcheurs, boulangers, artisans, salariés, retraités, jeunes, entrepreneurs…), avec l’objectif d’unifier le pays.

Nom issu d’un tweet du 1^er janvier dénonçant les ZFE et se terminant par « on s’en fout, c’est des gueux ». Repris massivement en hashtag, il est devenu notre étendard : fierté de ceux qu’on méprise, mais qui ne se laissent pas faire.

Cause après cause, nous visons des sujets utiles à la nation (80 % d’adhésion). Nos premières causes :

• Contre les ZFE qui interdisent aux Français de circuler librement.
• Contre la PPE3 qui ferait exploser la facture d’électricité et mettrait en péril notre système énergétique.
• Pour réformer le DPE qui sort du marché des millions de logements.

D’autres causes viendront très rapidement.

• Blocage du décret PPE3.
• Remise en cause des ZFE et suppression votée dans la loi.
• Émergence d’un vrai débat national sur l’énergie et la mobilité.

• Adhésions & pétitions pour créer un pôle de résistance.
• Mobilisations sur le terrain (rassemblements, actions locales) et sur les réseaux sociaux.
• Propositions crédibles (PPE des Gueux).
• Alliances avec organisations pro et élus (Club des #Gueux).
• Présence médiatique pour éclairer ce que d’autres cachent.

Adhésion : lesgueux.fr/adhesion. Chacun peut contribuer : manif, relais réseaux, bénévolat, soutien financier.

Le Référendum d’Initiative Citoyenne (RIC) est un mécanisme qui permet aux citoyens, lorsqu’un seuil de signatures est atteint, d’imposer l’organisation d’un référendum sur une question précise. Contrairement au référendum actuel, décidé uniquement par le Président ou le Parlement, le RIC redonne au peuple la capacité de choisir les questions posées à la nation et de trancher directement.

• Parce que notre démocratie est en crise : les Français votent tous les 5 ans pour un président qui concentre tous les pouvoirs, puis n’ont plus de prise sur les décisions.
• Parce que les grands débats de société (énergie, fiscalité, santé, écologie…) sont trop souvent confisqués par une petite élite.
• Parce que la défiance est immense : le RIC est un moyen de réparer le lien entre peuple et institutions.

Pour les #Gueux, le RIC n’est pas une cause en soi mais un outil. C’est le moyen démocratique de résoudre durablement la crise de la déconnexion entre politiques et citoyens. – Les causes comme la PPE ou les ZFE sont des combats immédiats. – Le RIC est un outil permanent pour que de tels sujets soient décidés régulièrement par la nation elle-même.

• Unifier : il rassemble les Français autour du débat et du vote.
• Débattre : chaque RIC oblige la société à argumenter et confronter des visions.
• Trancher : les décisions sont claires et appartiennent au peuple.
• Rythme démocratique : consultation régulière au lieu d’attendre 5 ans.

Oui : – En Suisse, le référendum populaire existe depuis plus d’un siècle et permet aux citoyens de décider de nombreuses réformes. – Dans plusieurs États américains, les référendums d’initiative populaire existent au niveau local ou fédéral. Ces exemples montrent qu’on peut allier stabilité institutionnelle et démocratie directe.

• Faire du RIC une réforme institutionnelle prioritaire.
• L’utiliser comme outil d’unité nationale : un mécanisme démocratique pour résoudre les désaccords.
• Inscrire dans la Constitution le droit des citoyens à lancer un RIC.