Il y a des moments où l’actualité porte elle-même les preuves de l’utilité de notre action. En matière d’énergie, nous y sommes.
Et si ces polémiques successives tombent comme des dominos, c’est peut-être enfin l’occasion de pousser, très fort, l’exigence d’une PPE des #Gueux, la seule cohérente, la seule responsable, la seule qui ne finisse pas en désastre.
On croit rêver.
Le CEE – Certificat d’Économie d’Énergie – déjà une usine à gaz incompréhensible pour 95 % des Français, va devenir encore plus cher. Pourquoi ? Parce que, tenez-vous bien, le prix du baril a baissé. Donc il faudrait compenser par… davantage de taxes sur l’essence.
C’est l’argument officiel. Avec, évidemment l’inévitable « c’est pour votre bien messieurs dames. »
Résultat : une hausse de plusieurs centimes sur les carburants dès l’an prochain.
- Le thermostat connecté obligatoire : la technocratie dans nos salons
Prochaine trouvaille, la technocratie dans nos salons : imposer un thermostat connecté dans chaque foyer en 2027. Pardon, 2030. Un ministre offrant royalement 3 ans supplémentaires à nos cerveaux pour s’habituer.
Après la taxe, la surveillance numérique du radiateur.
Ce n’est plus de la transition énergétique, c’est de l’infantilisation permanente et la punition au bout.
Toujours plus de frais.
Toujours plus de contraintes.
Toujours plus de dispositifs hors-sol, pensés par des technocrate obnubilés par le contrôle et la taxe.
- Tout cela doit s’arrêter.
Pendant qu’on empile ces absurdités, nous tenons bon et nous agissons.
La PPE des #Gueux a dépassé 60 000 signataires.
C’est considérable.
Mais ce n’est pas encore suffisant, car le rouleau compresseur de la PPE3 arrive, et il faut l’arrêter avant qu’elle ne nous conduise à la catastrophe.
Cette PPE3, si elle est appliquée telle quelle, menace directement notre sécurité électrique. Et ce n’est pas une figure de style.
- Black-out : lorsque l’idéologie tue
Dans un pays doté d’un parc nucléaire performant, développer massivement des ENR intermittentes autour des centrales oblige à baisser leur production chaque fois qu’il fait beau et qu’il y a du vent.
Les ENR passent en priorité sur le réseau, c’est une obligation européenne.
Le nucléaire devient une variable d’ajustement.
C’est exactement ce qui s’est produit en Espagne.
Un pays suréquipé en éolien-photovoltaïque, qui a dû débrancher massivement son réseau : 12 heures de coupure, plus de 150 morts.
La réalité, brutale, silencieuse : un black-out, ce n’est pas un simple désagrément.
C’est une tragédie.
Si la France se lance dans cette folie, ceux qui auront imposé la PPE3 devront répondre pénalement des morts que provoquerait un effondrement du réseau.
Ne rien dire aujourd’hui, c’est accepter l’irresponsabilité demain.
- Se mobiliser pour empêcher l’accident annoncé
Nous ne voulons pas d’une politique énergétique fondée sur la contrainte, la taxe et l’idéologie.
Nous voulons une politique fondée sur la raison, la sécurité et la justice.
La seule manière d’éviter un black-out à la française, la seule manière de faire entendre le pays réel, la seule manière de reprendre le contrôle de nos factures, c’est d’imposer la PPE des #Gueux.
Elle avance.
Elle gagne du terrain.
Mais elle doit devenir un mouvement national.
Conclusion : la folie énergétique n’est pas une fatalité
Entre les CEE augmentés pour compenser la baisse du pétrole, les thermostats connectés obligatoires, l’obsession de multiplier les ENR au détriment de la sécurité du réseau, nous voyons se dessiner un paysage absurde, injuste et dangereux.
Notre force, c’est notre mobilisation.
Notre levier, c’est la PPE des #Gueux.
Notre urgence, c’est d’être des centaines de milliers.
Parce que cette fois, ce n’est pas un combat symbolique.
C’est un combat pour empêcher la catastrophe, pour défendre notre souveraineté énergétique, et pour rappeler à ceux qui gouvernent que les Gueux pensent, votent et ne se laisseront plus imposer des décisions qui les mettent en danger.
Les #Gueux


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